Ah le printemps, saison de métamorphoses, remises en question, cette envie de changer d’air, aussi simplement qu’on ouvre à nouveau les fenêtres de la maison pour laisser s’infiltrer ce vent chaud et inviter, mine de rien, l’extérieur un peu à l’intérieur ... Douce période de transition où les journées, allongées...
« Refusons ce qui détruit! Car qui détruit autour de lui; nature, relations et respect n’a rien d’un dignitaire. »
- Francis Trudeau
Les raisins de la colère sont animés par ce refus de laisser son entourage être détruit. Nous recherchons ceux et celles qui, comme nous, tentent de renverser la vapeur en prenant soin de vérifier l’éthique de l’entreprise de qui nous achetons. C’est pourquoi les vins proposés par les raisins de la colère ont tous reçu notre approbation lors de la visite du vignoble pour s’assurer des pratiques exercées sur place. C’est ce que nous appelons des vins raisonnés! Nous vous le garantissons!
« Dans l’âme des gens, les raisins de la colère se gonflent et mûrissent, annonçant les vendanges prochaines. »
- JOHN STEINBECK
Tenant son nom du roman de John Steinbeck, prix Nobel de littérature en 1962, l’agence promeut la fierté des producteurs, de leur équipe et de l’élixir qu’ils ont le bonheur de nous offrir. Ces doux nectars sont issus de pratiques agricoles raisonnées, biologiques ou en conversion. Bref, refusons ce qui détruit! Car qui détruit autour de lui; nature, relations et respect n’a rien d’un dignitaire. À tous ceux qui vivent en harmonie avec leur entourage, santé!
L’épais tapis de neige a engourdi la vie, lui donnant ainsi le temps de faire une pause, une douce retraite avant la frénésie du printemps et le spectacle majestueux des couleurs qui reprennent leur place. Et nous là-dedans, que faisons nous de l’hiver ? Nous n’avons (pour la plupart) plus...
Les étiquettes de toutes sortes font leur apparition, faisant miroiter avec elles bien des promesses… La bio, paysage luxuriant où tout vit en harmonie et où seul le naturel est toléré, le naturel, on aime, beaucoup même, oui, mais même le naturel peut parfois en faire trop… Les humains, eux,...